Dis-moi dans quel état est ta chambre à coucher...

C'est la meilleure décision que j'ai prise pour conserver ma vie sexuelle quand je suis devenue mère : prendre soin de ma chambre à coucher.

Le boudoir de Thérèse
3 min ⋅ 21/02/2025

J'adore mes trois enfants, vraiment. Mais dans ma chambre à coucher, il n'y a aucune photo d'eux ni aucun objet qui pourrait me rappeler que je suis leur maman. Rien. À la place, j'ai des photos encadrées de femmes en lingerie, de nombreuses bougies et un grand miroir aussi. Sur la table de chevet, il n’y a que trois petites boîtes en osier dans lesquels je range mes huiles de massage et un briquet. Le lit est confortable, les draps sont assortis. Le style est épuré.

Vous ne trouverez pas de livres empilés non plus, mais ça, je vous en parlerai plus tard.

Dans ma chambre à coucher, tout est à mon goût et invite à coucher.

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Le boudoir de Thérèse

Le boudoir de Thérèse

Par Thérèse Hargot

Je suis Thérèse Hargot. Essayiste, thérapeute de couple et sexologue. Depuis près de vingt ans, j’ai accompagné plusieurs milliers de personnes dans le cadre de mes consultations et des stages que j’anime régulièrement. Je donne des conférences pour les adultes et j’interviens auprès des jeunes dans le cadre de l’éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle.

Pendant toutes ces années, j’ai écouté les peines des coeurs et des corps. Le problème qui m’a été le plus souvent confié est celui de la perte du désir et de la disparition (progressive) des relations sexuelles. Les Français n’ont jamais aussi peu fait l’amour, les sondages le prouvent.

Cette newsletter est une réponse à ce mal du siècle. Je veux redonner chair au désir !

Découvrez toutes mes activités sur : www.theresehargot.com

MES LIVRES

Tout le monde en regarde (ou presque), Albin Michel, 2024.

Qu’est-ce qui pourrait sauver l’amour ?, Albin Michel, 2020.

Aime, et fais ce que tu veux ! Albin Michel, 2018.

Une jeunesse sexuellement libérée (ou presque), Albin Michel, 2016.

Pour une libération sexuelle véritable, FX de Guibert, 2010.